Édition papier 3 avril 2024

L’équipe du Montréal Campus est fière de vous présenter son édition papier du printemps 2024.

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Édition papier printemps 2024

Commentaires

9 réponses à “Édition papier 3 avril 2024”

  1. Avatar de Emma Nifeste
    Emma Nifeste

    “La CLAC regroupe des organisations universitaires comme le GRIP-UQAM” je serais curieuse de voir le “travail journalistique rigoureux” qui a mené à ces drôles de sornettes complotistes

  2. Avatar de Rédacteur en chef
    Rédacteur en chef

    Erratum : Dans le bas de vignette du texte « L’argent des étudiant(e)s s’envole à Atlanta », il est écrit que « La CLAC regroupe des organisations universitaires comme le GRIP-UQAM ». Cette information est fausse. Le GRIP-UQAM ne fait pas partie de la CLAC. Il aurait dû être écrit que le comité d’éducation populaire de la CLAC fait partie de GRIP-UQAM.

    Toutes nos excuses.

  3. Avatar de Alice Lefèvre
    Alice Lefèvre

    Wow what a masculiniste torchon. Aucune mention du mot ”Culture du viol” ni ”Patricarcat” ni ”masculinité toxique”. Oui, bien sûr, les hommes sont aussi victime de Violence à Caractère Sexuelle, mais ce que vous ”oubliez” de mentionner, c’est que 96% DES PERPÉTRATEURS SONT DES HOMMES.

    Victimiser ”les hommes” en général, en page couverture, avec un logo de MoiAussi masculin, c’est 100% nourrir les arguments anti-féministes, décrédibiliser les réels groupes de défenses des victimes de VAS (homme comme femme) et au final, contribuer à la culture du viol.

    Fucking gênant.

  4. Avatar de Cali Thé
    Cali Thé

    Cela fait maintenant une journée complète que vous êtes au courant que vous avez mégenré une personne décédée dans votre article bâclé à la va-vite et toujours aucune correction n’as été faite. Un manque flagrant d’intégrité chez des prétendus aspirants journalistes.

  5. Avatar de Alexandre
    Alexandre

    L’erratum n’est pas bon, puisque si le Montréal Campus avait fait le travail de lire les conclusions du comité de la politique 51 sur la reconnaissance des groupes étudiants, il aurait remarqué que le comité d’éducation populaire n’a pas été reconnu au sein et donc ne fait pas parti du grip-uqam au même titre que le Crapeau ou Stasis. Le site web du Grip n’est peut-être pas à jour mais c’est du travail des journalistes de s’assurer de la véracité, même après un erratum

  6. Avatar de Camarades, vous pouvez faire mieux
    Camarades, vous pouvez faire mieux

    L’éditorial en première page est vraiment intéressant, étant étudiant à l’afesped je me souviens clairement avoir participé à distance à une assemblée en comodale avant la parution du journal d’automne alors se présenter comme étant la raison derrière ce changement est assez aberrant de la part du journal. C’est aussi particulier d’ouvrir le journal avec une déclaration que l’afesped vous “ris au nez” et ensuite avoir en page 9 un article qui est presque uniquement une entrevue avec l’afesped. Je ne sais pas si il y a d’autres situations semblables avec les autres associations mais ça ressemble beaucoup à de la mauvaise fois et/ou diffuser des demi informations pour se donner une importance/un rôle de victime.

  7. À force d’être mal cité.es et que des citations soient utilisées hors contexte pour prouver des points ayant pour seul but de provoquer et de basher les assos, c’est compréhensible que certain.es ne veulent plus vous parler.
    Aussi, bare minimum de pas mégenrer le monde. Manuel Paez Terán utilisait they/them (iel), mentionné.e dans l’article « L’argent des étudiants s’envole à Atlanta »

    1. Avatar de Recyclage
      Recyclage

      On peut comprendre pourquoi vos journaux finissent à la poubelle. Mégenrage, manque d’intégrité, manque de professionalisme, un budget secret et confidentiel malgré des demandes constantes de financement à la communauté étudiante, encourager la culture du viol et de la violence, fake news, travail bâclé d’enquête. Arrêtez surtout pas d’aller à vos cours!

    2. Avatar de Duyên

      À Concordia, les deux journaux parlent d’enjeux qui touchent les étudiant-e-s, d’initiative au sein de l’université, donnant un climat de solidarité.
      Ici, on dirait que le journal ne fait que manipuler les faits pour augmenter les tensions, et a un certain complexe de sauveur/”nous sommes la voix du peuple”, qui ironiquement contraste avec le clair manque d’approbation de la part de sa communauté.
      Cela me déçoit énormément, ce manque de rigueur et d’honnêteté intellectuelle.
      J’espère que tout cela vous fera reconsidérer vos actions, avec tout le pouvoir que vous détenez, “Montréal Campus”.

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