Après deux ans au Montréal Campus, je le quitte aujourd’hui avec le coeur gros. Sans mes heures passées à vendre des beignes et mes journées consacrées à corriger le journal de pied en cap, je vois mal comment je serais passée au travers de mon baccalauréat. De la première fois où j’ai fait mon entrée au Campus, toute gênée d’être parmi ceux qu’on m’avait vanté comme étant la crème de la crème, jusqu’au jour où...