Je n’ai jamais été ben bon pour les adieux. Habituellement, je bafouille ou je postillonne lorsque vient le temps de dire au revoir à quelqu’un. En m’assoyant devant mon ordi, j’ai réalisé que l’écriture de ma dernière chronique au Campus serait un exercice tout aussi laborieux. Quoi dire? Quoi pas dire? Ahhhh! J’ai pensé faire des rimes : hausse radicale, grève générale, ministre déloyal, course rectorale, tempête syndicale, ententes d’éval. J’entendais déjà mon équipe me...