Le Campus vu par…

Jennifer Desrochers, directrice des relations de presse de l’UQAM

«Le Montréal Campus, c’est le seul journal étudiant qui m’appelle. Ils sont là. Ils ont des nouvelles à donner, il y a une pertinence dans le journal.» En poste depuis trois ans, Jennifer Desrochers collabore souvent avec le Montréal Campus. Bien consciente que les artisans du journal sont des étudiants en apprentissage, elle les traite comme tout autre média traditionnel. «Je sais bien que parfois, je peux énerver les étudiants quand je ne leur dis pas ce qu’ils voudraient entendre, mais je vais toujours leur répondre du mieux que je peux.» Souvent le premier contact des collaborateurs avec les relations publiques, elle suit le progrès des journalistes avec attention et lit le journal à chaque parution.

 

Chantal Francoeur, directrice du programme de journalisme de l’UQAM

Pour Chantal Francoeur, le Montréal Campus représente une charge de travail énorme pour offrir un travail indépendant et de qualité. C’est une manière d’apprendre nécessaire qui favorise le développement des journalistes. «Le Montréal Campus, je le lis, il oxygène ma vie uqamienne et il fait partie de mon identité. Ses artisans essaient, à chaque parution, à chaque mise en ligne, de faire du journalisme. Il faut saluer tout acte, tout élan de journalisme, parce que c’est une mission impossible. Mais c’est justement parce que c’est une mission impossible qu’il faut le faire. Dans le plaisir, j’espère, et avec foi et enthousiasme.»

 

René Delvaux, membre étudiant du Conseil d’administration de l’UQAM

«S’il y a une critique que je peux faire, c’est que la couverture faite par le Campus des affaires uqamiennes est souvent inégale. Les journalistes commencent, ne sont pas impliqués dans l’université, ne connaissent pas les bases et sans le savoir, interprètent des enjeux de manière inefficace. Toutefois, quand ils se donnent la peine de creuser plus, je suis souvent agréablement surpris.» Membre du Conseil d’administration de l’UQAM, il n’a pas observé une influence particulière du journal sur celui-ci, mais constate qu’un média étudiant a sa place dans l’école, pour informer les étudiants de ce qui s’y passe.

 

 

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