Pourquoi le Campus a-t-il été si significatif pour moi et autant de mes collègues? J’ai eu envie de gazouiller une réponse. En quinze temps…
1. Sans mes textes barbouillés à l’encre rouge par mes chefs de pupitre du Campus, jamais je n’aurais appris que j’avais des croûtes à manger.
2. Sans le Campus, je n’aurais peut-être jamais compris que je devais douter de tout – même de moi-même – pour devenir un bon journaliste.
3. Sans mes collègues du Campus, je ne serais jamais resté pris dans un banc de neige en Islande… #C’estunetrèslonguehistoire
4. De trop longues heures passées devant mon écran au Campus ont certainement nui à mes performances scolaires.
5. De trop longues heures passées devant mon écran au Campus ont certainement amélioré ma performance journalistique.
6. Sans le Montréal Campus, je me bourrerais probablement encore de beignes aujourd’hui. #Maldecoeur
7. Si le Campus n’avait pas existé, bien franchement, je serais peut-être, en fait, en train de vendre des beignes aujourd’hui!
8. Sans mon expérience au Campus (et les encouragements des collègues), aurais-je eu l’audace de proposer des piges au Voir et à La Presse?
9. J. Lachapelle estime que nos amitiés du Campus nous suivront jusqu’au CHSLD. Je seconde. #Petitepausenostalgique
10. Si ce n’était du Campus, jamais un titre d’article comme «Ying Chen pogne» aurait-il été imprimé. #Nousétionsjeunesetfous
11. Apprendre à fabriquer un journal de A à Z, un privilège exceptionnel permis par le Campus.
12. Je souhaite ardemment que le Campus puisse inspirer une autre génération de journalistes. Et une autre. Et une autre…
13. Des dizaines d’anciens du Campus trempent chaque jour la plume dans la plaie avec vigueur et passion pour informer le public. #Priceless
14. Montréal Campus est mort sont des mots que je n’accepte pas de voir côte à côte. Ce serait une aberration.
15. En guise de conclusion, cinq mots : essentiel de trouver une solution.
Alexandre Sirois
Responsable des pages Monde
La Presse
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