Ça sent le désarroi dans nos canards. Toujours la même rengaine. Le Devoir ne se vend plus (comme tous les autres), mais ne se renouvelle pas. La Presse avance sur un terrain glissant en cherchant à jouer sur les plates-bandes du Journal de Montréal. Et le Journal de Montréal s’enfonce dans le sordide le plus dégueulasse possible, numéro après numéro. En tête de gondole, nous trouvons nos chroniqueurs favoris, Foglia-Martineau-Nadeau-Lagacé qui font jour après jour...