« Les chauffeurs de taxi, on est considérés comme des ratés de la société », laisse tomber Hakim, un bref sourire aux lèvres. Il s’est ouvert sur son quotidien et sur son arrivée au Québec alors que Montréal défilait derrière les vitres de son taxi.
Hakim affirme que le métier de chauffeur de taxi représente une « porte d’entrée » pour les immigrant(e)s qui se cherchent un emploi. « Quand tu viens ici et que ton argent diminue, t’es obligé de partir directement sur le marché du travail », avance-t-il.


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