Les Raptors à l’UQAMSilence et stratégie

Les Raptors de Toronto se sont entraînés du 1er au 5 octobre au Centre sportif de l’UQAM. Notre photojournaliste Kilian Beauchesne a assisté aux entraînements et les raconte en images.  

Les Raptors ont choisi le Centre sportif de l’UQAM, pour être près de leur hôtel et car on peut y tenir des entraînements à huis clos. Cela permet d’éviter la fuite de stratégies, a confié au Montréal Campus Alexandre Lamarre, directeur du Bureau des activités sportives du Centre sportif de l’UQAM.
Les Raptors ont choisi le Centre sportif de l’UQAM, pour être près de leur hôtel et car on peut y tenir des entraînements à huis clos. Cela permet d’éviter la fuite de stratégies, a confié au Montréal Campus Alexandre Lamarre, directeur du Bureau des activités sportives du Centre sportif de l’UQAM.
Les Raptors s'entraînent.  Ils pratiquent les lancers francs et paniers à trois points.
Les Raptors s’entraînent. Ils pratiquent les lancers francs et paniers à trois points.
Certains joueurs de l’équipe ont pour habitude de s’entraîner au Centre sportif de l’UQAM pendant l’été. C'est le cas de Chris Boucher, qui a longtemps vécu à Montréal. « Je suis content de faire découvrir la ville et les installations du Centre sportif aux autres joueurs de l’équipe », a-t-il dit en conférence de presse.
Certains joueurs de l’équipe ont pour habitude de s’entraîner au Centre sportif de l’UQAM pendant l’été. C’est le cas de Chris Boucher, qui a longtemps vécu à Montréal. « Je suis content de faire découvrir la ville et les installations du Centre sportif aux autres joueurs de l’équipe », a-t-il dit en conférence de presse.
Gradey Dick, jeune joueur américain de 20 ans, qui s’entraîne au panier à trois points. Sélectionné par les Raptors en 2023, le joueur entame sa deuxième saison en NBA.
Gradey Dick, jeune joueur américain de 20 ans, qui s’entraîne au panier à trois points. Sélectionné par les Raptors en 2023, le joueur entame sa deuxième saison en NBA.
« L’accueil des Raptors est bon pour le rayonnement du centre sportif [de l’UQAM] », s’est réjoui Gerry Neree, l’entraîneur de l’équipe féminine de basketball des Citadins. À son avis, même si les joueurs et les joueuses des Citadins n’ont pas eu la chance d’assister aux entraînements, ils et elles ont pu bénéficier d’une certaine proximité avec l’équipe des Raptors. Les quelques étudiant(e)s de l’UQAM ayant essayé d’assister aux entraînements se sont également vu refuser l’accès, ce qui a causé des déceptions.
« L’accueil des Raptors est bon pour le rayonnement du centre sportif [de l’UQAM] », s’est réjoui Gerry Neree, l’entraîneur de l’équipe féminine de basketball des Citadins. À son avis, même si les joueurs et les joueuses des Citadins n’ont pas eu la chance d’assister aux entraînements, ils et elles ont pu bénéficier d’une certaine proximité avec l’équipe des Raptors. Les quelques étudiant(e)s de l’UQAM ayant essayé d’assister aux entraînements se sont également vu refuser l’accès, ce qui a causé des déceptions.
Du papier brun a été posé sur toutes les portes et toutes les fenêtres qui donnaient sur le terrain de basketball. L’accès à la piste de course intérieure qui donne sur le terrain de basketball était surveillé par un agent de sécurité. Les universités McGill et Concordia étaient moins bien équipées que l’UQAM pour tenir les entraînements à huis clos, selon Alexandre Lamarre.
Du papier brun a été posé sur toutes les portes et toutes les fenêtres qui donnaient sur le terrain de basketball. L’accès à la piste de course intérieure qui donne sur le terrain de basketball était surveillé par un agent de sécurité. Les universités McGill et Concordia étaient moins bien équipées que l’UQAM pour tenir les entraînements à huis clos, selon Alexandre Lamarre.

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