Pour la deuxième édition du concours de Cas interuniversitaire en gestion de projet (KGP) du Project Management Institute de Montréal, des étudiants de l’École des sciences de la gestion (ESG) de l’UQAM ont raflé tous les honneurs.
Le concours, organisé cette année par l’ESG, a confronté des étudiants de l’UQAM à des équipes de l’École des hautes études commerciales de Montréal et de la Polytechnique. «Notre but premier c’est de promouvoir la gestion de projet sur la scène universitaire. Les étudiants connaissent plein de domaines de gestion, mais la gestion de projet est moins connue», dit une des organisatrices, Ariane Brissette-Bélanger.
Dans la matinée, 32 équipes de quatre personnes ont eu 1h30 pour lire un cas particulier dans le domaine de la gestion de projet, le résoudre et préparer une présentation PowerPoint. Les équipes ont ensuite présenté leur solution à un jury et ont répondu à quelques questions. Le jury a ensuite délibéré durant l’heure du dîner et le comité a annoncé les résultats de cette première ronde en début d’après-midi.
Huit équipes sont passées à une deuxième ronde de résolution de cas et les gagnants ont été annoncés dans la soirée lors d’un cocktail. Au baccalauréat, Andrew Lockhead, Maxime Bélanger, Frederic Sauvé et Catherine Dupont-Gagnon ont remporté les honneurs. Julie Delisle, Christine Bibeau, Valérie Martel et Nicolas Dziasko à la maitrise se sont aussi mérités l’iPad 2 attribué à chaque gagnant.
Les équipes éliminées ont assisté dans l’après-midi à plusieurs ateliers et conférences sur la gestion de projet donnés par des professionnels ou des professeurs dans le domaine. On y abordait entre autres le rire en entreprise et la façon de communiquer sur le vif.
Les participants ont été satisfaits de l’organisation de la journée. «C’est le genre d’occasion qui permet d’appliquer la théorie à la pratique, explique un étudiant de la Polytechnique, Selim Hani. Cela nous permet de voir dans quoi je voudrais travailler plus tard et comment se fait d’habitude l’application dans un domaine réel», mentionne un étudiant de la Polytechnique, Selim Hani.
En plus d’avoir augmenté de 33% le nombre de participants et d’avoir divisé les équipes selon le bac ou la maitrise pour égaliser les forces, la gestion du concours a été faite selon les principes d’écoresponsabilité. «On a des verres en vitre en lieu de verres en carton, on a donné des gourdes de café réutilisable, donc aucun plastique, on fait du compost, toutes nos serviettes sont écoresponsables», explique Ariane Brissette-Bélanger.
Crédit photo: Marion Bérubé
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