Certains réalisateurs parviennent à trouver une esthétique cinématographique alléchante dans l’horreur et le « gore », un credo intimement exploité au festival montréalais de courts métrages SPASM, qui accueille depuis 2014 une section de films portant sur le sexe. « J’avais l’idée de quelqu’un qui se détériorait physiquement au-dessus de quelqu’un d’autre pendant l’acte », explique la réalisatrice Amelia Moses, rencontrée après la projection de son film Undress Me au Théâtre Plaza. Elle a construit l’arc narratif de son film...