L’exclusion des hommes a été un élément clé pour plusieurs féministes dans le mouvement de dénonciation des agressions à caractère sexuel des dernières semaines. La vague de dénonciation à l’UQAM a provoqué une véritable onde de choc au sein des groupes féministes non mixte. S’ils mettent les hommes en dehors de certains comités et rencontres, les militantes ont du et doivent toujours résister aux préjugés envers leur mode de fonctionnement. Leur approche féministe est nécessaire...