Le 21 janvier se tenait la Journée internationale des câlins. Des célébrations qui, pour la deuxième année consécutive, perdent de leur sens pour plusieurs personnes alors que certain(e)s expert(e)s s’interrogent sur ce qu’il restera du contact humain dans un monde post-pandémique. « Dès qu’on annonce qu’on peut enlever nos masques et que tout le monde peut frencher, je vais frencher tout le monde! », s’exclame en riant Charlotte Lachambre. L’étudiante au baccalauréat en communication humaine et organisationnelle...