L’UQAM est contrainte de recevoir des subventions moins élevées par rapport aux autres universités québécoises spécialisées dans les recherches de pointe, favorisées par la méthode gouvernementale de répartition des subventions. « On observe un calcul arbitraire qui désavantage fondamentalement l’UQAM, qui a une vocation d’enseignement plus traditionnel dans le secteur des sciences humaines », dénonce le professeur à l’Université du Québec à Rimouski Martin Maltais, spécialisé en financement et en politiques d’éducation. Les subventions gouvernementales...