Travailler au noir pour ne pas perdre une partie de sa bourse d’études, c’est ce que vit Sophie* depuis plus d’un an. L’étudiante au baccalauréat est dans une situation qui, bien qu’elle lui semble nécessaire, comporte son lot d’avantages, mais surtout de stress. Pour Sophie, le travail au noir ne faisait pas partie de ses plans. Bénéficiaire des prêts et bourses depuis le début de ses études supérieures, elle reçoit entre 8 500$ et 9...