Chaque année, l’histoire se répète. Cette fois, c’était au premier étage du pavillon Judith-Jasmin, au bout de ce corridor orné des idéaux du Printemps érable. Si vous vous y êtes arrêté dans les derniers jours, vous y avez probablement vu des étudiants enfiler une toge un peu vieillotte et un mortier un brin trop étroit. Un petit effort pour la fierté parentale, mais aussi le symbole que la ligne d’arrivée n’est plus bien loin. Je...