Le tatouage s’est peu à peu défait des préjugés qui lui étaient associés en démontrant qu’il s’agissait d’un art dédié à tous et à toutes, et non pas qu’aux personnes marginales. La pratique se révèle toutefois moins inclusive que prévu, laissant parfois les personnes à la peau plus foncée de côté. « Les gars de club, les alcooliques, les prostituées et les marins, c’était ma clientèle à l’époque », énumère Clément Demers, qui a commencé à...