Dissimulée dans la catégorie «autres crimes» aux côtés du vol de bicyclettes, la rapine d’œuvres d’art se fait discrète. Si les musées sont parés pour se mesurer aux cambrioleurs, les galeries et les particuliers restent vulnérables. Les institutions d’art québécoises tuent dans l’œuf tout scandale sur le vol d’œuvres d’art. Cette culture du secret règne tant dans les musées que dans les galeries. Rien n’est trop cher quand vient le temps de protéger la collection...