Alors que les employés de soutien de plusieurs universités du Québec s’affairent à renégocier leur convention collective, les esprits s’échauffent. Les administrations refusent de payer, les syndiqués réclament la reconnaissance. Avec le sous-financement que connaissent actuellement les universités québécoises, les employés de soutien qui renégocient leurs conventions collectives partout à travers la province craignent d’être les martyrs de l’équilibre budgétaire. Déjà, ceux des universités Sherbrooke et McGill ont opté pour la grève pour tenter de...