«Kidnapping, sabotage, destruction de matériel institutionnel». Un tract distribué hier par le comité de mobilisation de l’Association facultaire des étudiants en langues et communication (AFELC) prône l’utilisation de moyens de pression extrémistes comme alternative à une grève générale. Le document a fait polémique sur les réseaux sociaux, tard hier soir. L’association s’est rapidement dissociée des termes utilisés en affirmant n’avoir jamais autorisé sa publication. La photo du document a eu rapidement droit à son heure...