Transports bordéliques, cacophonie, travail harassant: résider ou avoir longtemps vécu en ville multiplierait les chances de souffrir d’anxiété, de stress, de schizophrénie et d’autres troubles de l’humeur. Habituée au calme et à la sérénité de la campagne, Élianne, étudiante originaire de Saint-Hyacinthe, a sombré dans la mélancolie lorsqu’elle s’est installée à Montréal pour poursuivre ses études. Le dynamisme de la faune métropolitaine l’a étourdie au point de nuire à ses études et à sa santé...