Qu’il ait des poignées d’amour, la carrure d’un joueur de football ou la peau vieillissante, le corps se révèle par la danse. Ouverts à de nouvelles morphologies, les chorégraphes effacent pas à pas les standards de beauté de la scène contemporaine montréalaise. Fini les corps parfaits. Petits ou gros, jeunes et vieux, peau noire ou cheveux roux, les danseurs sont le reflet de la réalité. Les chorégraphes, qu’ils soient revendicateurs ou soucieux de représenter le...