«Nous sommes plus que vous ne le croyiez et jamais nous ne nous tairons!», concluent les femmes qui ont rédigé un long courriel adressé à la communauté uqamienne samedi dernier. Le brouhaha qui a suivi les dénonciations anonymes visant six professeurs était attendu. Victimisation des personnes dénoncées, regards curieux, journalistes insistants, tout n’a pas plu aux instigateurs-instigatrices du mouvement contre le harcèlement et les agressions. Si certains journalistes ont cherché et cherchent le scoop à...