Pour sept pavillons et cinq salles honorant des hommes, seuls les pavillons Thérèse-Casgrain et Judith-Jasmin ainsi que la salle Marie-Gérin-Lajoie commémorent des femmes qui ont marqué le Québec. Le problème de parité dans la toponymie des lieux de l’UQAM cache un laxisme des méthodes de nomination depuis leur construction en 1969. Le manque de parité dans la toponymie des pavillons de l’université révèle un problème encore plus large, explique la professeure au Département d’histoire et...