Les travailleurs saisonniers qui quittent l’Amérique latine pour passer quelques mois dans les champs québécois montrent peu d’intérêt à apprendre le français, une situation qui peut causer de graves problèmes de mésentente, constatent les résultats préliminaires d’une étude. Entre janvier et mai 2018, près de 10 800 travailleurs étrangers, pour la plupart d’origine mexicaine ou guatémaltèque, avaient déjà foulé le sol québécois, selon les données de la Fondation des entreprises en recrutement de main-d’œuvre agricole étrangère...