L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE) décide de boycotter la Commission spéciale d’examen sur les évènements du printemps érable, et réclame une enquête publique et indépendante sur la répression policière. L’ASSE affirme que sa participation aurait pu être envisagée si le gouvernement Marois avait fait preuve de plus de transparence. «Si les nominations avaient été moins partisanes et que la Commission avait été entièrement publique, nous aurions été ouverts au compromis et aurions considéré...