Plus jeune, le maigre salaire de peintre en bâtiment de Guy Maddin lui permettait tout juste de partager son temps entre ses études en économie et sa passion de cinéphile pour les films muets des années 1920. Ses films ont toujours porté l’empreinte de ce premier amour, y intégrant tour à tour des éléments autobiographiques et des thématiques d’auteur portant essentiellement sur la question de la mémoire, de la détresse psychologique et du rêve. Nous...