J’aime beaucoup Shakespeare et sa langue. «Thee», «Thou», «Thy», ça me sonne doux à l’oreille et me donne des flashback de Juliette sur un balcon. Mais voilà, mes talents en anglais restant limités et mon choix de programme d’étude m’a menée de fait dans une université francophone. J’apprends à faire le journalisme dans la langue de Molière et bien franchement, j’ai toujours préféré l’humour de ce dernier à celui de ce cher William. Cette semaine,...