Le calepin est rangé. Le microphone, déposé. Du haut de ses huit mois, le premier enfant d’Ariane Lacoursière lui donne l’occasion de prendre une pause momentanée de son emploi à La Presse. «J’adore le journalisme, mais à un certain point tu deviens saturé. En ce moment, j’en profite pour redécouvrir mon métier et j’apprends à le voir d’un autre œil», confie-t-elle. Un bol de café au lait en main, la jeune mère profite d’un rare...