Il est plutôt rare qu’André Forcier, cet enfant terrible du cinéma québécois, ne présente un nouveau film sans faire de remous. Mais alors que c’est habituellement ses propos grinçants qui font couler de l’encre, son douzième long-métrage, Coteau Rouge, aura fait la manchette pour une toute autre raison. Présenté en ouverture du 35e Festival des Films du Monde, le film a été projeté dans une version numérique incomplète et d’une piètre qualité visuelle, en raison...