Les utilisateurs de drogues injectables, surveillés par les policiers et inquiets de rendre leur consommation publique, laissent leurs seringues sur le campus de l’UQAM, faute de moyens de disposer du matériel souillé. Itinérance, maladie ou violence, les consommateurs de drogues injectables ont le dos large. La peur contribue à l’exacerbation des préjugés et des stéréotypes à l’égard des utilisateurs de drogues injectables (UDI), déjà marginalisés. Des membres de l’Association pour la défense des droits et...