Afin de redonner de leur dignité aux travailleuses du sexe, une professeure de l’UQAM et son équipe tentent de briser les tabous sur le plus vieux métier du monde. Dans le bureau de Maria Nengeh Mensah, au pavillon W de l’UQAM, des centaines de manuels s’entassent sur de hautes étagères. Leurs titres témoignent d’années de recherche sur la sexualité, le féminisme et les revendications sociales. Bien déterminée à passer de la théorie à...