AccueilAuteur Bruno Landry

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C’était en 1982. Des artisans du Montréal Campus avaient repêché l’étudiant en journalisme chevelu, barbu et assidu que j’étais. N’oublions pas qu’à cette époque, même si on ne vénérait pas nécessairement le poil, on le tolérait, fut-il issu du visage, du torse, de l’aisselle ou du pubis. Le cheveu se portait long et ébouriffé, la barbe était touffue et hirsute. Le propos, au contraire, se voulait épuré et précis. J’avais été recruté par un certain...