Véritable parcours à obstacles, la course pour la diffusion du cinéma québécois en fait transpirer plus d’un. Épuisés, les réalisateurs, les distributeurs et les exploitants de salles se dirigent, pas à pas, vers la vidéo sur demande. Les salles se remplissent dans les cinémas l’Excentris de Montréal et le Clap de Québec. Installés dans leur siège, pop-corn en main, les spectateurs ont les yeux rivés sur l’écran et attendent impatiemment les premières images du long...