Hiver comme été, les «accros» au bronzage n’ont rien à envier aux douchebags de la téléréalité Jersey Shore. Certains «tanorexiques» vont même jusqu’à multiplier les abonnements à différents salons de bronzage, au grand dam des médecins. «Mon premier emploi me servait à payer mon abonnement au salon de bronzage». À l’âge de 15 ans, Geneviève Phénix, maintenant diplômée de l’UQAM, se laisse tenter par les cabines. Pendant des années, elle ne peut se passer de...