Des manifestants se sont réunis le 1er février au parc Émilie-Gamelin en guise de contestation à la brutalité policière dont a été victime un jeune homme, atteint par un coup de feu au visage la veille à Maniwaki. « Ce sont des choses qui sont systémiques et qui arrivent plus souvent qu’on le pense », explique Philippe*, un manifestant présent à la manifestation s’opposant à la brutalité policière et plus spécifiquement au coup de feu tiré au...