Une place infime occupée par l’orgue dans l’actuelle industrie musicale, une fréquentation des églises en diminution constante, un manque d’argent pour couvrir l’onéreux entretien du patrimoine actuel: les prétextes sont multiples pour qui veut bien annoncer la mort de la facture d’orgues dans la province. Pourtant, les artisans québécois tirent leur épingle du jeu en visant de plus en plus le marché international et le milieu profane. Il s’agit d’une évidence banale: pour assurer sa...