Critique contemporaine des limites de l’injustice humaine, l’adaptation de la pièce L’homme éléphant, présentée au Théâtre du Rideau Vert, arrive de peine et de misère à faire revivre les souffrances qu’a réellement vécues Joseph Merrick dans les années 1880. Le rideau s’ouvre. Le public se retrouve aussitôt plongé dans l’univers des foires ambulantes du 19e siècle. « Mi-homme, mi-bête », scande un animateur de rue, déclinant les mérites de l’homme éléphant à l’avant-scène. Derrière une affiche promotionnelle digne...