Grégory Charles a affirmé la semaine dernière que le monde culturel était trop dépendant des subventions au Québec. Notre débrouillard n’a pas tout à fait tort et son propos permet une certaine réflexion par rapport au financement de la culture, bien qu’il désignait les festivals de musique précisément. Comme dans presque tous les enjeux politiques du Québec, notre statut particulier complique la situation. En tant que minorité linguistique, il faut évidemment que l’État prenne sous...