Il est 13 h 55. Le cours « Spectacle chorégraphique libre » du 24 février débute à 14 h. Armando Menicacci est assis dans son bureau. Le professeur de 51 ans se montre accueillant, le sourire fendu jusqu’aux oreilles, avant d’offrir un café tout droit sorti d’une machine italienne dernier cri. D’un grand naturel, il cultive la conversation sans se soucier du temps qui passe. Le temps qui passe… M. Menicacci avoue ne pas comprendre le concept des plans de cours,...