Pour intégrer la viande à l’alimentation quotidienne, il suffit aujourd’hui de passer au supermarché. S’il fallait attraper et abattre son propre animal, plusieurs se contenteraient d’une salade. L’employé d’une porcherie est confronté chaque jour à la mort. Un travailleur égorge en moyenne 500 porcs à l’heure. Si certains ont le sang-froid nécessaire, d’autres en sortent mal en point. Des rapports de la Commission de la santé et sécurité au travail (CSST) démontrent qu’une certaine détresse...