Au premier regard, l’immeuble semble quasi désaffecté. Une façade qui présente de grandes fenêtres aux carreaux ternis, un escalier de béton profondément fissuré. À l’intérieur, un labyrinthe de couloirs lugubres, malgré de multiples néons dont l’éclairage vif se réverbe sur le gris clair des murs. Au tournant, on retrouve la porte bleue, sobre mais solide, qui s’ouvre sur le Donjon Urbain, un des seuls terrains de jeu de Bondage et discipline, domination et soumission, sadomasochisme...