C’était en 1998. La comédie musicale Notre-Dame de Paris battait son plein en Europe et la fièvre venait d’atteindre le Québec. J’apprenais à peine à utiliser le lecteur CD par moi-même que déjà je mettais mes connaissances à profit pour jouer l’intégrale du spectacle. J’avais délaissé pour de bon les Backstreet Boys et les Spice Girls pour Garou et Bruno Pelletier. Quelques années plus tard, j’en remettais avec Roméo et Juliette. Je constatais déjà un...