La limite de l’acceptable : voilà ce avec quoi les photojournalistes et vidéastes doivent composer au quotidien, alors qu’ils tentent de transposer la violence du terrain aux manchettes des médias. Bien qu’on les accuse parfois de bercer dans le sensationnalisme, ces journalistes gardent la dignité au centre de leurs préoccupations. La visite à Montréal de Burhan Özbilici, journaliste pour l’Associated Press, était l’occasion de discuter de la représentation de la violence dans les médias lors d’un panel organisé...